« MARCHEUR, IL N’Y A PAS DE CHEMIN, LE CHEMIN SE DESSINE EN MARCHANT »

Nous continuons d’avancer dans la préparation des conclusions et des décisions. Pour cela nous avons commencé l’oraison du matin comme Moïse qui nous invite à nous laisser porter par ce Dieu de la Vie pour écouter la clameur des petits, ceux qui ne sont pas pris en compte, les visages connus de nos réalités.

« Le Seigneur dit : « J’ai vu la misère de mon peuple qui est en Egypte. J’ai entendu son cri devant les oppresseurs, oui je connais ses angoisses… Maintenant va, je t’envoie…”(Ex. 3,7-10)

En accueillant l’invitation du Seigneur, nous continuons d’approfondir notre option de partager avec nos frères et sœurs la soif d’être reconnues comme personnes avec dignité.

Et comme nous le rappelle Juan Manuel Serrat : nous sommes prêtes à cheminer parce que le chemin se dessine en marchant.